Royal Belgian Ice Hockey Federation

Alors, que doit-on attendre du CM la semaine prochaine ?
« Avec ce véritable groupe, nous devrions pouvoir nous maintenir. La Roumanie, qui vient d’être reléguée de la division supérieure, et la Serbie-Montenegro sortent du lot. Nous pouvons tenir tête à l’Afrique du Sud, l’Espagne et la Bulgarie. Le problème réside dans le fait que la Roumanie et la Serbie sont nos deux premiers adversaires. Au niveau mental, ce sera lourd à colmater avant nos matches cruciaux. Et nous avons alors encore un handicap : au niveau international, on siffle beaucoup plus sévèrement qu’en Belgique. Si nous jouons comme en Belgique, nous serons davantage assis sur le banc des pénalités que d’habitude. »
Allons-nous nous faire ridiculiser à Sofia ?
« En Division 1, là, nous avions été ridicules. Maintenant, nous évoluons en deuxième division – à vrai dire, le troisième niveau car au-dessus de la première division, il y a encore le groupe des élites, composé des nations traditionnelles du hockey sur glace – et il s’agit de notre rang. Le Bronze entre dans nos possibilités au sein de ce groupe. »
Un cadeau empoisonné ?
« Jusqu’à la semaine passée, je n’avais pas encore de team manager. Je ne trouvais pas d’assistants. Ce Championnat mondial me coûte de l’argent. Mais selon moi, mon sport le vaut. Naturellement, si tout à l’heure une autre fédération voit le jour, je sais que je serai également la première victime. »